Monsieur Riekenbrauk, pourquoi avez-vous des plantes au mur ?
Lorsque mes collègues Vincent Schmidt, Mathes Robel et moi-même avons décidé en 2015 d'ouvrir un restaurant qui changerait de cuisine et d'équipe toutes les deux semaines, il était clair qu'il nous fallait un caméléon. Un magasin qui soit aussi changeant que ses hôtes. La décoration est difficile. Les plantes au mur conviennent toujours. C'était une expérience.
Tout comme le "Laden ein" en général : les jeunes restaurateurs, ou ceux qui veulent le devenir, peuvent y tester le quotidien dans la restauration. Une histoire à succès ?
Nous sommes très satisfaits. Au cours des deux dernières années et demie, nous avons accueilli 60 hôtes - et même, pendant six mois, un autre magasin à Düsseldorf, où nous avons également accueilli 12 cuisiniers. Nous étions les premiers à l'époque. Depuis, il y a des imitateurs, par exemple "Guck mal wer da kocht" à Francfort. Et c'est bien. Il devrait y avoir de telles boutiques dans chaque grande ville - de préférence soutenues par la CCI. Car en tant que restaurateur, on n'a souvent pas la possibilité de s'essayer - sans louer directement son propre local commercial. Mais cela implique un grand risque financier. Nous aidons.